Traces du dé/colonial au musée

Comment aujourd’hui interpréter, travailler, déplacer les traces du passé colonial instituées en « collections ethnographiques » au sein des musées ?
À cette question, Traces du dé/colonial au musée apporte un éclairage multisitué et plurivoque. Restituer/rapatrier, exposer/représenter, acquérir/s’approprier, imaginer/performer ces œuvres et artefacts collectés en contexte colonial sont les problématiques qui traversent ce livre collectif. Articles inédits, traductions et entretiens visent à rendre accessibles aux personnels des musées, aux étudiants et étudiantes comme au public francophones les pensées tissées et débattues à cet égard dans d’autres contextes culturels.
Un glossaire, édité par Marion Bertin et Martin Hullebroeck, complète l’ouvrage, dépliant les notions clefs de ce champ de recherche.

Avec des contributions de Felicity Bodenstein, Jessica De Largy Healy, Larissa Förster, Pélagie Gbaguidi, Patricia Hayes, Sharon Macdonald,
Silvie Memel-Kassi, Wayne Modest, Placide Mumbembele Sanger
et Josette Shaje Tshiluila, Margareta von Oswald, Damiana Oţoiu,
Bénédicte Savoy, Anna Seiderer, Nanette Snoep.

Comment aujourd’hui interpréter, travailler, déplacer les traces du passé colonial instituées en « collections ethnographiques » au sein des musées ?


Préface de Dominique Poulot
Parution 23 avril 2024
Hors collection
Thématique : institutions culturelles
288 pages
23 images en noir et blanc
21 x 14 cm avec rabats
25 euros
ISBN 978-2-491382-04-9


Felicity Bodenstein est maîtresse de conférences en Histoire de l’art contemporain et Patrimoine à Sorbonne Université. 
Margareta von Oswald est chercheuse en Anthropologie au Centre d’études avancées « inHerit. Heritage in transformation » à la Humboldt-Universität zu Berlin. 
Damiana Oţoiu est maîtresse de conférences en Anthropologie politique à l’université de Bucarest. 
Anna Seiderer est maîtresse de conférences en Art et anthropologie à l’université Paris 8-Vincennes-Saint-Denis.